Dès le deuxième jour après notre arrivée, on s’est fait embarquer par des vadrouilleurs français, Thomas et Ariane, avec qui Benoît avait papoté via Facebook quelques semaines auparavant. Nos projets sont tellement similaires qu’on s’est promis de se voir à Brisbane quand ils y repasseraient.
Chose faite, sous forme de visite d’une community farm dans le nord de la ville, suivie d’un restau japonais bien sympa. Ils font le tour du monde pendant trois ans, cherchent à apprendre le plus de choses possible sur les méthodes de culture biologique innovantes et l’écoconstruction. Chemin faisant ils documentent sur leur site leur parcours sous forme d’articles et de vidéos… et on s’est un peu engagés à leur écrire quelques trucs, puisqu’ils nous ont recommandé un paquet d’endroits où woofer mais qu’ils n’avaient pas le temps de visiter.
C’était cool de se sentir accueillis et d’échanger sur l’état du monde, surtout que Thomas est très optimiste quant à l’imminence d’une prise de conscience plus massive des populations. Peut-être que nos voyages apaiseront aussi mon pessimisme, en tout cas les gens qu’on a rencontrés jusqu’ici ont donné un sacré boost à ma foi en l’humanité.
To be continued…
Cela commence par un regain de foi en l’humanité et ça se termine par faire des bébés.
Va peut-être y avoir des surprises au retour de Bas Sous.
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Y’en a des qu’ont des obsessions douteuses.
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Mouhahaha! J’adore le commentaire précédent!!
J’allais juste dire que je suis du même avis que Thomas, je sens aussi un début de prise de conscience (et j’en suis la preuve vivante, y a qu’à voir ma façon de consommer d’il y a encore à peine 5 ans)
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Ne l’encourage pas s’il-te-plaît!
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1) Mais si! Cela fait toujours plaisir d’avoir du soutien!
2) Les bébés ne sont pas mon obsession et je fais mienne cette citation de Paul Léautaud:
« Lorsque l’enfant paraît, je mets mon chapeau et je m’en vais ».
Mais je ne vais pas développer un argumentaire, ce serait trop long et fastidieux.
Pour finir, il y a quand même des bébés que je suis content d’avoir connu.
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Ayons foi en l’humanité et en l’avenir, ne soyons plus pessimisto-collapsiste, aussi ardu que cela soit…
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C’est très voltairien de la part des » belles lettres » d’avoir intercalé son commentaire entre le mien et celui de Tachok.
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